La une me parle beaucoup, la promiscuité acceptée de la condition ouvrière à l'époque. Nous en sommes, pour ce sujet, assez loin maintenant. Quoique, il y a toujours de mauvais élèves... il n'y a pas si longtemps.
La bâtisse est aussi impressionnante que sur les autres images. Majestueuse, baroque avec ses crénelures, ses embrasures cintrées, ses fioritures, toutes symboles de prospérité
La trois c'est l'usine dans toute sa décrépitude. Elles sont nombreuses dans cet état. Il est difficile de dire dommage mais il est aussi dur de penser à tous les emplois perdus.
Les traitements des photos des bâtiments sont plutôt durs, ce qui n'est pas le cas de l'image de ce qui fut le vestiaire. Ce manque d'homogénéité dans la série, ce n'est pas un reproche, me fait penser à un ressentiment bien enfoui envers "l'usine" dans son ensemble et de la compassion pour ceux qui ont "œuvré" dans ces ateliers.
Quelque chose comme un manque d'objectivité assumé.
N'est-il pas, une fois ?