"Il suffisait de presque rien"

Le texte + la photo
Juste un truc qui m'attire, la tache blanche au niveau des cheveux vers le milieu a gauche
Alain.

BOUBOU33 a écrit:

Juste un truc qui m'attire, la tache blanche au niveau des cheveux vers le milieu a gauche
Alain.

ce doit être ce qu'il y a derrière, c'est une mèche de cheveux qui ne 'colle' pas au visage.
merci

Ok
Alain.

Photo et accompagnement
Tu as vraiment le coup pour trouver les mots qu'il faut.

Chapeau Msieur



Est-il possible que la photo date d'il y a peu de temps ?

Il me semble déjà avoir (entre-)vu la mamzelle

Baloo a écrit:

Est-il possible que la photo date d'il y a peu de temps ?
Il me semble déjà avoir (entre-)vu la mamzelle

ah ben je l'avais déjà postée "ailleurs" alors !

la photo prend sens grâce au texte, mais même sans, j'adore toutes les promesses d'espoir qui se lisent dans ce sourire à demi esquissé. Une occasion manqué? C'est pas grave, il y en aura d'autres. Pas d'amertume ici.

Amicalement,
Kramer

Ebauche d'un sourire avec Reggiani en fond sonore.
J'aime bien.

Très jolie personne pour une très jolie photo accompagnée de mots touchants et émouvants.
j'aime beaucoup

Très belle photo et très joli modèle...

Je vais m'arrêter essentiellement sur la qualité du N & B qui, comme pratiquement à chaque fois m'enchante et me ramène 40 ans en arrière. Merci l'ami Klaus.

un beau portrait, bien isolé du reste des autres personnages par une Profondeur de champs bien adaptée. Un beau traitement...

j'aime cette esquisse de sourire, ce regard absent mais pensif..... une jeune femme qui à l'air très douce mais aussi déterminée....

Si à tout cela, on lit le texte (superbement bien chanté par S. Reggiani il me semble), on peut imaginer que tu as été séduit par cette personne... je comprends


O.

Elle est craquante, elle a tout à inventer, tout à découvrir ceci malgré l'apparente assurance qu'elle aime afficher.
Un vernis qu'un doux frottement de l'ongle écaillerait.
Elle lèverait vers moi ses grands yeux aussi pétillants qu'interrogateurs et quelque chose en moi fondrait.
Alors viendrait le timide début de la tendre et merveilleuse complicité...

Je me sens soudain bien vieux ce soir.
Et la voix de Reggiani qui s'invite dans ma tête.
Avec ce texte, beau mais cruellement lucide.
Merci Klaus.